Arpenter le monde en bonne compagnie : hommage à Dominique Pasquier

Bonjour, nous sommes le vendredi 11 avril 2025. Cette semaine, nous rendons hommage à la sociologue et membre du Conseil Dominique Pasquier, qui vient de nous quitter et vous proposons un retour sur l’édition 2025 du baromètre du numérique.

Arpenter le monde en bonne compagnie : hommage à Dominique Pasquier ✦ Baromètre du numérique : prendre le pouls des usages ✦ Vers un RGPD et un AI Act light ? ✦ Comment le numérique peut-il permettre de renforcer l’EVARS ? On en parle le 16 avril ! ✦ Les Cafés IA à venir.

Arpenter le monde en bonne compagnie

Hommage à Dominique Pasquier

« Bonjour, j’ai fait beaucoup de changements… »

Travailler pour Dominique, pour la diffusion de ses idées, de ses travaux, de ceux de ses équipes, c’était mêler la fascination face au savoir, la peur de notre propre ignorance et l’humilité à l’idée du travail restant à accomplir pour arriver à l’expression de quelque chose qui se rapproche de ce qui est.

Écouter Dominique, c’était avoir accès à une compréhension du monde inaccessible auparavant. Une partie du monde seulement, celui du terrain de ses enquêtes au-delà desquelles il n’était pas question de s’aventurer au risque de porter atteinte à la rigueur du travail sociologique et de s’attirer des foudres toujours pleines de tendresse.

Nous étions avides des échanges que Dominique nous offrait car ils nous permettaient de comprendre un peu plus ce qui se jouait sur le terrain. Pas le terrain de la personne que l’on doit convaincre mais celle qu’on prend le temps d’écouter. Hâtifs d’en tirer des grands messages et généralisations, elle nous ramenait à l’analyse sous forme d’orfèvrerie. « Il n’y a pas de généralités. » Nous entrions alors dans une dialectique entre volonté de partage au plus grand nombre et rigueur de l’analyse scientifique. Dominique seule en avait les clefs.

À une époque où il est beaucoup question de déconstruction, Dominique Pasquier déconstruisait les croyances et les faux-semblants en entrant dans les détails et en menant l’enquête. Être dans le fond du sujet et apporter une juste lecture du terrain prend du temps et requiert de la nuance mais aide à comprendre comme nul autre. « Le tout est de ne pas tomber dans des discours idéologiques, mais d’aller voir les pratiques et d’enquêter. »

Comprendre par exemple combien l’ordinateur a été un objet d’intimidation et comment le mobile est devenu un outil d’intimité. « On en revient au symbolique de l’outil. » A partir de là, ce qui peut sembler comme une évidence mais n’est une vérité qu’après un travail de fond, on comprend beaucoup de choses que les politiques publiques n’ont pas encore actées. « Il faut coller au plus près des pratiques pour concevoir des politiques publiques adaptées. »

Comprendre aussi que les vidéos en ligne peuvent être un terrain d’apprentissage « par la bande », que la classe emporte quelque chose que les plateformes en ligne peuvent briser. Mais gare à vous si vous vouliez en tirer la moindre conclusion généralisante. Non, tout dépend des publics et des usages, qui peuvent encore s’inscrire dans les tendances latentes et discriminantes que la société charrie comme des lames de fond.

Comprendre enfin ce qui se joue sur le terrain au-delà du numérique : « Dans ce matériau [celui sur lequel L’Internet des familles modestes est fondé], on en apprend aussi sur la crise du couple dans les milieux ruraux avec la mauvaise cote de l’homme peu qualifié à la campagne où il y a un phénomène de célibat subi bien tracé d’ailleurs par les statistiques de l’INSEE. Dans les groupes Facebook, ces célibataires malgré eux déversent un flot d’angoisse et de misogynie, qui correspond à une situation de détresse repérable statistiquement puisque le taux de célibat des hommes non diplômés en milieu rural est très élevé. » C’était près d’une décennie avant que le terme d’Incel se diffuse dans le débat public. La sociologie pour voir ce qui est et anticiper ce qui vient.

Avec Dominique, nous pouvions naviguer dans la complexité du monde. Là où cette complexité peut terrifier si elle n’est pas digérée. Dominique nous offrait le chemin pour l’arpenter avec toute sa chaleur, avec ses clopes pendant les visios, avec ses coups de gueule en plénière. Arpenter aussi partout en France, toujours partante pour les déplacements, pour voir et constater sur le terrain. Dominique était une formidable partenaire de route, bienveillante, enthousiaste et exigeante.

Cette rigueur mêlée à tant de sympathie était rassurante, non pas pour nous laisser bercer, mais pour nous permettre de nous mobiliser et mieux comprendre la situation des travailleurs. Dominique nous mettait en marche, à nous ensuite d’avancer.

Nous étions plus grands à tes côtés, Dominique. Nous n’avons pas forcément été à la hauteur de tes attentes. Nous aurions aimé travailler sur les questions de genre comme tu le souhaitais. On ne l’a pas fait, ou pas assez. « J’espère qu’il y aura d’autres études sur les populations populaires, car la démocratisation du numérique les a complètement touchées. Il ne faut pas lâcher cette piste des différences sociales dans l’appropriation numérique. C’est clef. On connaît beaucoup de choses sur les classes supérieures, mais pas sur ces catégories de population. Il faut combler ce déficit. »

La recherche est un flambeau que d’autres devront porter dans les tourments de l’époque et de celles à venir. C’était un bonheur de t’avoir parmi nous.

Voici une liste de quelques contributions de Dominique Pasquier aux travaux du Conseil :

Les extraits ci-dessus sont issus d’un entretien conduit dans le cadre des activités du Conseil en mars 2021.



Baromètre du numérique : prendre le pouls des usages

Depuis 2000, le baromètre du numérique prend le pouls de l’évolution des équipements et des usages du numérique. Chaque année, cet épais rapport de chiffres et de diagrammes proposé par l’Arcep, le Conseil général de l’économie, l’ANCT et l’Arcom nous montre que la pénétration des usages et de la connectivité progresse. Ce sondage souligne, année après année, que tous les usages numériques s’étendent. Chez les 12-17 ans, depuis longtemps hyperconnectés, l’usage quotidien du smartphone continue de progresser, comme chez les 70 ans et plus qui le sont pourtant bien moins. La durée de connexion de chaque strate d’âge continue également à progresser. Partout, la plupart des chiffres qu’accumule le Crédoc sont à la hausse, tant et si bien que dans le paysage d’une société toujours plus hyperconnectée que dresse ce tableau, on a tendance à chercher les reculs, les signaux faibles. On en trouve forcément. Par exemple dans un recul des achats en ligne des jeunes adultes (18-24 ans), plus contraints par les difficultés économiques. Mais dans l’ensemble, la tendance reste à la hausse.

Réseaux sociaux. Même la consultation des réseaux sociaux, qu’on pouvait croire commencer à passer de mode, continue de progresser, même si elle semble plus passive qu’elle n’a été. 41 % de la population déclare passer plus de trois heures par jour devant les écrans pour un usage personnel, dont la moitié (soit 20 % de la population), plus de 5 heures par jour. Plus on passe de temps sur un écran, et plus on le regrette. Même les freins à l’usage du numérique se desserrent. « En 2023, 45 % de la population interrogée faisait face à des freins, c’est le cas de 36 % de la population en 2024, soit un tiers de la population (- 9 points). Le manque de maîtrise des outils numériques reste le premier frein auquel doivent faire face les Français (19 %), suivi du manque de performance de l’équipement ou de son obsolescence (10 %). 8 % des personnes font état d’un accès difficile ou impossible à internet (8 %) tandis que 7 % ne possèdent pas d’équipement dédié. Tous les freins connaissent une progression à la baisse, suggérant donc une meilleure maîtrise des outils numériques. »

L'IA est là. « L'inquiétude pour le manque de protection des données personnelles, qui avait considérablement reculé depuis 2019, a progressé de 13 points en l'espace d'un an (33 %). Cette résurgence pourrait s'expliquer par l’émergence de nouvelles technologies, telles que l’intelligence artificielle, qui posent la question de la gestion des données de manière nouvelle. Et de fait, la méfiance à l'égard de l'intelligence artificielle reste majoritaire au sein de la population (56 %). Les risques de destruction d’emploi (62 %) et les conséquences négatives concernant la création artistique (53 %) sont les deux motifs d'inquiétude les plus fréquemment associés au développement des intelligences artificielles, suivis de près par les dégâts causés sur l’environnement (consommation accrue de ressources), le développement durable (48 %) ou les craintes des impacts sur l'éducation et la formation (47 %). Pourtant, l'usage des outils d'intelligence artificielle progresse fortement : 33 % des Français en ont déjà utilisé en 2024, contre 20 % en 2023. Les usages dans le cadre de la vie privée dominent (26 %, +10 points en un an), et dépassent de peu ceux liés à la vie professionnelle (22 %, également +10 points sur la même période). La méfiance vis-à-vis de ces outils d'intelligence artificielle recule avec l'usage personnel de ceux-ci : seules 26 % des personnes ayant déjà utilisé l'un de ces outils se méfient de l'intelligence artificielle (vs. 71 % de celles n'en ayant jamais utilisé), laissant augurer une meilleure acceptation future de ces outils. »

Inquiétudes. Mais, il n’y a pas que face à l’IA que l’inquiétude se développe. « Globalement, deux tiers des Français (67 %) estiment que le numérique facilite leur vie quotidienne (en augmentation de 4 points par rapport à 2023). Mais la proportion s'inverse totalement pour les Français non-diplômés : près de 60 % d'entre eux estiment que le numérique complique ou n'a pas d'effet sur leur vie quotidienne. Si l'usage du numérique est massif, près de deux tiers (65 %) des individus ressentent des craintes à l'utilisation d'internet et des outils numériques. Les Français craignent en premier lieu une utilisation inappropriée de leurs données personnelles (28 %), puis des arnaques, escroqueries, harcèlement (19 %). D’ailleurs, on constate que le manque de protection des données personnelles est le principal obstacle à l’utilisation d’internet, il concerne un tiers des répondants, soit une augmentation de 13 points par rapport à 2023, alors que ce taux était en recul ces dernières années. En outre, les Français craignent également de commettre des erreurs (9 %) ou n'ont pas confiance en leurs compétences numériques. Contrairement aux idées reçues qui voudraient que les plus jeunes, en tant que « digital natives », soient tous totalement à l’aise avec les nouvelles technologies numériques, les jeunes adultes (18-24 ans) seraient en réalité les plus inquiets face à l’usage du numérique, puisque 76 % ressentent au moins une crainte. »

Démarches administratives et médiation. Les démarches administratives en ligne sont devenues une pratique courante pour une large majorité de la population. 73 % des Français ont effectué une démarche administrative sur internet au cours des douze derniers mois. Et ces démarches sont en nette hausse, même chez les 70 ans et plus. Pourtant, le rapport en souligne également les limites. « Près d'un Français sur deux (44 %) rencontre des difficultés dans la réalisation de démarches administratives en ligne. Toutefois, il est intéressant de noter que les principales difficultés citées par les Français ne sont pas liées à leur compétence numérique (11 %) mais davantage aux effets de la désintermédiation de la relation citoyen-administration produite par la dématérialisation (47 %). Plus précisément, lorsqu'ils rencontrent des difficultés dans leurs démarches en ligne, les Français évoquent prioritairement, la peur de se tromper (18 %), l'incompréhension de ce qui leur est demandé (13 %) ou encore la mauvaise conception du site Internet de la démarche (16 %). En effet, le contact direct avec l’administration, par internet, implique pour les individus de maîtriser en particulier le langage et les procédures de celle-ci. Ainsi, pour réaliser ce type de démarche en ligne, il convient de disposer de compétences administratives qui ne sont pas initialement liées au numérique. Dans ce contexte, il est intéressant de noter que les jeunes adultes (18-24 ans) sont, de loin, les plus nombreux à éprouver des difficultés concernant la réalisation de démarches administratives en ligne (69 % rencontrent au moins une difficulté). Face à ces difficultés d'usage, près du tiers des Français (32 %) souhaiterait bénéficier d'un accompagnement gratuit à l'apprentissage du numérique et 10 % ont déjà bénéficié d'un tel accompagnement (principalement dans un lieu associatif ou à domicile). Autrement dit, près d'un Français sur deux plébisciterait un service public de la médiation numérique pour améliorer leur appropriation des technologies numériques ».

Obsolescence. Le baromètre du numérique souligne également que la durée de détention de l’équipement et notamment des smartphones s’allonge. Entre 2020 et 2024, la proportion de détenteurs d'appareils de moins de deux ans est en baisse quelle que soit la tranche d'âge. « Un quart des détenteurs de smartphone l'ont depuis trois ans ou plus, soit onze points de plus qu’en 2020. L'âge du détenteur est le principal facteur influant sur la durée de détention du smartphone. Les plus jeunes se distinguent pour la majorité d'entre eux (60 %) par la détention d’appareils récents de moins de deux ans, tandis que les personnes de 60 ans et plus conservent leurs smartphones plus longtemps. Les 70 ans et plus sont par exemple 43 % à détenir leur smartphone depuis plus de trois ans, contre 27 % en moyenne et seulement 14 % des 18-24 ans ». L’association Limites numériques vient d’ailleurs de réaliser un intéressant sondage sur le sujet de l'obsolescence des smartphones. Les utilisateurs rencontrent très vite des problèmes avec leurs smartphones et notamment des problèmes logiciels, plus que de problèmes matériels. Et ces problèmes commencent dans l’année même d’acquisition d’un smartphone. Malgré cela, les utilisateurs cohabitent avec les problèmes de leurs smartphones, tant pour faire durer leurs appareils que pour des raisons économiques. L’association propose néanmoins de renforcer la garantie logicielle et d'œuvrer à la sobriété logicielle.


🔎 La veille du Conseil

Dans la dématérialisation

Ouest-France a publié une belle série de reportages sur la médiation numérique. « Ici, c’est le seul lieu où on peut voir un être humain pour nous expliquer », disent les usagers. La série montre une colère sourde, le sentiment d’être démuni des usagers et le réconfort qu’apporte la médiation numérique face à tous les tracas du quotidien que la dématérialisation produit. Dans un autre article, la sociologue Nadège Vezinat, autrice de l’ouvrage Le Service public empêché (PUF, 2024) revient sur le désarroi de ceux qui subissent la fracture numérique. Pour Laëtitia Boulay, directrice de l’agence France services de Mondoubleau, le numérique devient anxiogène, « les gens ne veulent plus s’y confronter ».

Vers un RGPD et un AI Act light ?

L’Union européenne est entrée dans une croisade contre la surréglementation. La simplification réglementaire est devenue un objectif clé de la Commission, afin d’améliorer la compétitivité des entreprises européennes, suite aux critiques du rapport Draghi, qui estimait que la complexité des lois européennes empêchait l’économie européenne de rattraper son « retard ». Après des mesures pour simplifier les règles relatives aux rapports de développement durable et à l'accès aux investissements européens, c’est au tour du Règlement général pour la protection des données (RGPD), longtemps considéré comme intouchable, d’être sur la sellette, rapporte Politico. Le but : faciliter la mise en conformité des entreprises, notamment des PME de moins de 500 employés, qui la considèrent comme l’une des lois les plus complexes du secteur technologique.

Le bureau européen de l’IA est lui en train de travailler à la rédaction du Code de bonnes pratiques du règlement européen sur l’intelligence artificielle (AI Act), rapporte Jean-Marc Manach pour Next. Un processus qui doit s’étaler jusqu’en mai et auquel contribue un millier d’organisations. Reporters sans frontières vient pourtant de quitter la table des négociations, dénonçant le fait que les fournisseurs d’IA sont invités à contribuer au Code d’une manière bien plus active que les organisations de la société civile. « Le Code ne contient pas une seule disposition concrète pour lutter contre les dangers avérés que fait courir l’IA pour l’accès à l’information fiable », déplore RSF. L’ONG n’est pas la seule à dénoncer les mesures du Code. Une coalition d’acteurs des industries culturelles regrette qu’aucune mesure concrète pour empêcher l’exploitation par les IA de contenus protégés ne soit retenue.

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📆 Évènement

Inscrivez-vous pour échanger le 16 avril à Sciences Po sur l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. Dans la poursuite du partenariat entre le Conseil et le Programme d'études sur le genre de Sciences Po, nous organisons le 16 avril prochain une conférence sur le thème « Éveil à la vie affective, relationnelle et sexuelle : donner le pouvoir d’agir ». Dans un espace informationnel en ébullition, où nous naviguons entre des contenus tantôt émancipateurs tantôt toxiques, comment le numérique peut-il permettre de renforcer l’EVARS ? Une table ronde animée par Joséphine Corcoral avec :

  • Claire Bey, cheffe du bureau de la santé et de l’action sociale de la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) du Ministère de l'éducation nationale et de la jeunesse,
  • Philippe Martin, ingénieur de recherche en santé publique à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), responsable du projet de recherche participative Sexpairs,
  • Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre, co-directrice du Certificat égalité femmes-hommes et politiques publiques de l'École d'affaires publiques de Sciences Po.

Où ? Amphithéâtre Claude Érignac, 13 rue de l'Université, 75007 Paris.

Quand ? Le 16 avril 2025 de 17h00 à 19h00.

Information et inscription

☕ Les actualités de Café IA !

« Il faut plus sensibiliser les gens autour de l’impact de l’utilisation de l’IA » ; « J’ai envie que les gens prennent de nouveau le temps pour faire quelque chose, qu’il n’y ait plus de pression sur l’efficacité ». Samedi dernier, Nicolas Chagny organisait un Café IA dans le cadre du festival Résonances organisé par The Good Planet. Un riche échange pour faire le point sur nos peurs, nos envies et nos besoins liés au développement de l'IA. Samedi 19 avril, Nicolas Chagny organisera de nouveau un Café IA (9h30 - 11h) dans le cadre des 3es Ateliers de l’Avenir Numérique de Varzy dans la Nièvre organisés par Internet Society France. Pensez à vous inscrire !

Café IA continue à se structurer et à se déployer en toute autonomie partout en France. Le 8 avril nous étions au NEC Local Haute-Marne pour une journée consacrée à l’IA pour présenter la démarche Café IA, animer une table ronde sur ses enjeux et un café IA pour accompagner les conseillers numériques à s’approprier la démarche. De très nombreux Cafés IA s’organisent, notamment à Troyes, Massy, Limoges, Blois, Paris, Saint Nazaire où encore à :

  • Bordeaux, le 14 avril avec Aquinum.
  • Léognan, le 15 avril avec la Ligue de l'Enseignement, Inria et Poppy Station.
  • Villeurbanne, le 15 avril.
  • Ajaccio, le 28 avril avec Réseau Canopé.

La parole aux Hub !

  • Le Hub du Sud, le hub régional pour promouvoir et structurer l’offre de médiation et d’inclusion numérique en région Sud-Paca partage dans la dernière édition de sa lettre d’information six temps de formation à l’animation de Café IA à venir à Toulon (23 mai et 10 juin), Nice (12 et 19 juin) et Marseille (30 juin et 8 juillet). Vous êtes conseiller numérique ou acteur de la médiation numérique et vous souhaitez devenir animateur de Cafés IA ? N’hésitez pas à écrire à contact@hubdusud.fr pour en savoir plus !
  • Dans sa lettre d'information d'avril, le hub Francil'in partage le compte rendu détaillé d'un "café CoNum" qui vise au déploiement de Café IA par les conseillers numériques des Yvelines. Où se former ? Où trouver des ressources pour organiser un café IA ? Quand faire un Café IA ? Plusieurs éléments de réponses à retrouver ici.

👋 Avant de partir

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Comme d’habitude, n’hésitez pas à nous faire vos retours. Vous avez des questions, des remarques ou des suggestions ou vous souhaitez que nous abordions un sujet en particulier ? Nous sommes à votre écoute ! N’hésitez pas à répondre à ce mail ou à nous écrire à info@cnnumerique.fr.

Cette lettre d’information a été préparée par Hubert Guillaud, Gabriel Ertlé et Jean Cattan, illustrée par Magali Jacquemet et réalisée avec le soutien de Joséphine Corcoral.